« La saleté serait bonne pour votre santé mentale! » ( Jardinier paresseux – 27/10/2019 )

 » Quand Maman vous réprimandait parce que vous vous étiez sali en jouant dans la cour, en affirmant que vous contracteriez sûrement une maladie mortelle en jouant dans la terre, elle avait probablement tort. En fait, des études récentes montrent que se salir les mains (et les pieds!) est bon pour la santé.

Mycobacterium vaccae, une bactérie naturellement présente dans le sol et la saleté presque partout sur la planète, active en fait la libération de sérotonine et de dopamine dans votre cerveau. La dopamine affecte les émotions, stimule les sensations de plaisir et atténue la douleur, tandis que la sérotonine régule l’humeur, le comportement social, la libido, la mémoire et le sommeil. Ainsi, lorsque vous vous sentez si bien dans votre peau après avoir jardiné, il est fort possible qu’une bactérie du sol en soit, du moins en partie, la cause… »

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La saleté serait bonne pour votre santé mentale!

Les scientifiques du GIEC : « Le changement climatique s’accélère et s’intensifie » ( Reporterre – 9/08/2021)

« Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat publie ce 9 août son rapport faisant l’état des connaissances scientifiques sur le changement climatique. Il détaille notamment la multiplication à attendre des événements extrêmes. Et avertit qu’il reste à peine vingt ans pour limiter le pire. Une condition : amener les émissions de gaz à effet de serre à zéro.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publie lundi 9 août le rapport sur l’état des connaissances sur le changement climatique, ainsi que son Résumé pour les décideurs… »

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Pour en savoir plus sur le journal indépendant « Reporterre » : https://reporterre.net/quisommesnous

Transition agricole : des semences anciennes pour construire l’agriculture du futur (ID, L’info durable – 9/05/2021)

« Autrefois libres d’utilisation et de circulation, les semences servant aux agriculteurs sont aujourd’hui, d’après certains tenants d’un modèle alternatif, propriétés d’une agro-industrie soucieuse de pouvoir contrôler étroitement sa production. Certains acteurs associatifs se battent pour un système plus souple, et, selon eux, plus juste.

Des semences à la descendance prétendue stérile, des variétés de fruits et légumes ultra-sélectionnées à faible valeur nutritionnelle… Les dessous de l’agro-industrie ne se limitent pas aujourd’hui aux OGM ou aux produits phytosanitaires pulvérisés sur les cultures d’après certains acteurs. Au fur et à mesure du développement de l’agriculture intensive, des semences sélectionnées ont remplacé les semences traditionnelles dans le but potentiel de standardiser la production pour les tenants d’un modèle alternatif. Revers de la médaille : ces semences auraient des rendements décroissants d’une année sur l’autre, voire produiraient une descendance non viable, rendant les agriculteurs fortement dépendants des industriels selon certains acteurs. Depuis plus de vingt ans, Kokopelli milite pour le retour à une agriculture raisonnée et des semences libres et reproductibles. ID a échangé avec Ananda Guillet, président de l’association depuis 2012, pour lui donner l’occasion d’éclairer les zones d’ombre de ce sujet méconnu… »

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